Comme disait Helga, la copine de Daniel à Cochabamba,
« la vie n’a pas de valeur à la Paz ». Elle veut parler notamment de
la circulation, qui rend compliquée la traversée de n’importe quelle rue pour
un piéton. Mais en fait ce n’est pas seulement à La Paz !

En général le piéton n’est pas vraiment prioritaire dans
les nombreuses rues sans feux (ou mal respectés…) et il faut toujours très bien
regarder où on traverse des deux côtés et toujours marcher vite quand on
traverse.

C’est un peu le bordel, il n’y a pas vraiment de priorité
même si en théorie elle est à gauche.